Très p'tit lien

Je veux vibrer à haute fréquence mais ce sont les basses qui éloignent les serpents. Je voudrais comprendre les causes des conséquences, faire trépasser ma lassitude, m'en lessiver avant qu'elle ne m'ensevelisse de fausses aptitudes, tout en restant authentique au travers de mes habitudes. Bien décidé, pourtant je capitule. Mes jours m'entourent, me cernent, m'enténébrent et me bernent, courbant ma gratitude telle une toile de chapiteau sous laquelle s'attelle une mascarade pétaradante et attardée. Les visages s'y figent en rires de rages comme des images aux très tristes traits trop tordus. Ce cirque est fort d'une parade de fortune où apparemment le hasard se pavane en charabia allégorique reptilien dans ses liens au point que les gorilles n'en captent rien. Le sang circulant dans les veines du corpus de mes vers glace le dos et aimante le silence comme une farce de trop. Le son dit brulant prend mes peines en ordures à la crasse immonde qui sentent d'évidence le placébo. J'exige ma pitence: une âme en cadeau avec du sellophane autour pour qu'elle reste toujours aussi propre et sans microbe. Ma vue; ma vie. Je ne serai plus cyclope. Qu'as-tu appris avec tes priorités si forte que mon chaos ne m'a pas déjà lancé en cadeau?

Aucun commentaire: